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21 mai 2013

L'orthographe, une science vivante

En orthographe comme dans le reste de la vie, demeurer sans faute et sans reproche est une tâche formidable. On pourrait même se demander si ce n'est pas un vain travail : qui peut se targuer de ne jamais faire de faute, sans parler de n'en avoir jamais fait une seule ? Je sais bien que la distraction est mon péché mignon et que je suis donc particulièrement exposée à la faute la plus difficile à parer, la faute d'inattention. Contre elle, je sais qu'il n'y a pas de parade infaillible. Qu'on en juge :

Ma plus belle faute d'orthographe, je l'ai commise dans une lettre de motivation rédigée pour obtenir un travail de correction ! Eh oui ! Une lettre lue, relue et re-relue. Mais (le diable se cache dans les détails) dans un dernier effort de perfection j'ai voulu rajouter une phrase au dernier moment. Ensuite, clic ! C'est envoyé. Horreur ! Au moment-même où je clique j'aperçois la faute dans la phrase que je viens d'ajouter, mais c'est trop tard. Un clic est un clic, même malencontreux. Il faut croire que le destinataire était aussi distrait que moi : il n'y a vu que du feu et j'ai obtenu le travail que je demandais.

Depuis ce temps, je mets en garde contre les insertions de dernière minute. Toute publication doit se terminer par une relecture attentive, jusqu'àu dernier ajout. Mais il y a bien une autre leçon à tirer de cette maladresse. C'est qu'on n'est jamais à l'abri de cette calamité : la faute d'orthographe. Mais pourquoi "calamité" ? Jusqu'à preuve du contraire, on n'en meurt pas. Certes, on n'en meurt pas, mais on en reste idiot... aux yeux des autres ! 

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